Le potager de john
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Le potager de john
quelques photos pour illustrer le commencement de la vie.
En vrac vous pourrez voir : radis, salade laitue ou batavia, concombre, melon, cornichon, haricot vert, tomates grappe,cerise,kumato,green zebra,cornue des andes, courgette.
Dimanche plantation des salades et repiquage des semis plants dans des godets.
vous remarquerez en arrière plan la poubelle récuperateur d'eau très pratique.
En vrac vous pourrez voir : radis, salade laitue ou batavia, concombre, melon, cornichon, haricot vert, tomates grappe,cerise,kumato,green zebra,cornue des andes, courgette.
Dimanche plantation des salades et repiquage des semis plants dans des godets.
vous remarquerez en arrière plan la poubelle récuperateur d'eau très pratique.
john john- Messages : 173
Date d'inscription : 15/02/2012
Age : 38
Localisation : Saint jean d'illac - Gironde (33)
Re: Le potager de john
bon c'est pas gagné !!!!!!!!!!
john john- Messages : 173
Date d'inscription : 15/02/2012
Age : 38
Localisation : Saint jean d'illac - Gironde (33)
Re: Le potager de john
Pouvoir faire son jardin potager et floral, c'est un super passe-temps, qui entretient la forme, et qui permet de voir la croissance végétale et ses aléas, parce que tout ne va pas toujours comme on aimerait ... et le climat s'en occupe pour beaucoup.
En plus, on déguste sa production et il n'y en a pas de pareille, forcément !
pour tuteurer les tomates, quatre solutions :
1 sans rien comme tuteur, (mais sur plastique au sol pour ne pas les salir de terre), en fait, on pose un treillage métallique à grandes mailles comme du treillage pour faire du béton armé, qu'on découpe à la taille de la ligne de tomates, et en largeur pour que ça dépasse d'un tiers la largeur de la bande. On fait un demi cercle en plantant les pointes de coupes, de chaque côté de la ligne, puis on l'écrase pour faire une forme en U retourné. un genre de tunnel aplati au dessus qui enjambe la ligne de plantes. (hauteur 30 cm)
Les tiges vont dépasser les fils soudés des mailles, et retomberont avec leur poids de fruits sur ce réseau qui les soulève un peu. C'est la méthode sans taille, mais ça fait fouillis rapidement, il faut savoir les guider.
Le rendement sera le maximum puisqu'on ne coupe rien.
2 le tuteur classique en bambou, ou en spirale métallique ou en bois classique. On fixe avec des liens souples en raphia mouillé c'est bien, en faisant un 8 entre le piquet et la tige. On taille tous les départs sur le côté, pour n'avoir que la tige principale qui portera des bouquets de fleurs et ensuite qui deviendront des tomates, toutes les 2 ou 3 feuilles. Quand on est à 6 ou 8 bouquets, on arrête la plante en coupant les pousses qui arrivent. Il faut un piquet de 2 m et donc deux poteaux plus costaud à chaque bout de ligne, pour tenir le tout, avec un fil de fer en haut, horizontal, pour éviter la casse et le couchage de tout ça. Rendement bon, et tomates propres.
Le tuteur en bois, c'est la méthode classique, le piquet ne dépasse pas 1,30 m du sol. (il est planté solide).
c'est moins envahissant, mais c'est aussi moins de rendement, du coup on multiplie les plantes.
4 La méthode suspendue; (Tancarville) on plante des poteaux (piquets de fer) de 2 m qui dépasseront de 1,70 m, un poteau tous les 3 m. On tend un fil de fer qui part du sol avant le premier poteau, monte sur la tête de celui-ci, et passe par la tête de tous les poteaux plantés. Puis, ce fil plonge au sol après le dernier poteau, et là il est attaché à un solide piquet qui ne doit pas pouvoir s'arracher. Sur le piquet de départ, on fait aussi un point solide, puis on tend au maximum le fil de fer. Opération sportive, mais qui va être récompensée ...
le long de ce fil, on déroule des cordes de nylon qui vont servir de tuteur aux pieds de tomate. Une ficelle par pied si vous tenez les tomates sur une tige, deux si vous faites des tomates à deux bras (deux tiges parallèles) trois si vous voulez faire des 3 bras, mais c'est plus compliqué à gérer.
on enroule chaque tige de tomate (en fait c'est la ficelle qui s'enroule autour de la tige du bas de la plante jusqu'en haut du fil (1,70 m). Le poids supporté par le fil est énorme en fin d'été, il faut donc qu'il soit des plus solides, sur des poteaux qui tiennent bien, et un fil de fer fixé solidement au sol, aux piquets plantés profonds de début de ligne.
C'est une méthode inspirée de la culture en serre où les plantes sont suspendues aux fils que supportent l'armature de la serre.
j'aime cette méthode, c'est celle-là que je fais dans mon jardin. Je ne plante que 3 ou 4 pieds, mais je les dédouble en deux bras. et j'allonge ma ficelle d'au moins un mètre vingt, en plus de la hauteur, ce qui me permet de coucher les plantes quand elles n'ont plus rien à récolter au sol. comme en serre.
ici en tunnel sur deux lignes, suspendues. puis sur un rang mais avec deux bras
quand on couche les plantes ça donne ça : d'abord les plantes sont effeuillées, des feuilles qui sont sèches pas des vertes qui sont actives et donne du rendement et font mûrir les tomates, (ce n'est pas le soleil qui fait rougir la tomate, c'est son âge par rapport à la floraison, et aux feuilles qui la nourrissent); puis on couche les tiges en déplaçant les attaches hautes des ficelles d'une longueur de plus en plus importante. (d'où un stock bobiné de ficelle pour pouvoir suivre l'allongement des plantes).
photo de tomates hors sol, la première montre l'enroulement de la ficelle qui fait tuteur, et la seconde montre l'inclinaison progressive des plantes, en plein air c'est pareil mais sur moins long.
En plus, on déguste sa production et il n'y en a pas de pareille, forcément !
pour tuteurer les tomates, quatre solutions :
1 sans rien comme tuteur, (mais sur plastique au sol pour ne pas les salir de terre), en fait, on pose un treillage métallique à grandes mailles comme du treillage pour faire du béton armé, qu'on découpe à la taille de la ligne de tomates, et en largeur pour que ça dépasse d'un tiers la largeur de la bande. On fait un demi cercle en plantant les pointes de coupes, de chaque côté de la ligne, puis on l'écrase pour faire une forme en U retourné. un genre de tunnel aplati au dessus qui enjambe la ligne de plantes. (hauteur 30 cm)
Les tiges vont dépasser les fils soudés des mailles, et retomberont avec leur poids de fruits sur ce réseau qui les soulève un peu. C'est la méthode sans taille, mais ça fait fouillis rapidement, il faut savoir les guider.
Le rendement sera le maximum puisqu'on ne coupe rien.
2 le tuteur classique en bambou, ou en spirale métallique ou en bois classique. On fixe avec des liens souples en raphia mouillé c'est bien, en faisant un 8 entre le piquet et la tige. On taille tous les départs sur le côté, pour n'avoir que la tige principale qui portera des bouquets de fleurs et ensuite qui deviendront des tomates, toutes les 2 ou 3 feuilles. Quand on est à 6 ou 8 bouquets, on arrête la plante en coupant les pousses qui arrivent. Il faut un piquet de 2 m et donc deux poteaux plus costaud à chaque bout de ligne, pour tenir le tout, avec un fil de fer en haut, horizontal, pour éviter la casse et le couchage de tout ça. Rendement bon, et tomates propres.
Le tuteur en bois, c'est la méthode classique, le piquet ne dépasse pas 1,30 m du sol. (il est planté solide).
c'est moins envahissant, mais c'est aussi moins de rendement, du coup on multiplie les plantes.
4 La méthode suspendue; (Tancarville) on plante des poteaux (piquets de fer) de 2 m qui dépasseront de 1,70 m, un poteau tous les 3 m. On tend un fil de fer qui part du sol avant le premier poteau, monte sur la tête de celui-ci, et passe par la tête de tous les poteaux plantés. Puis, ce fil plonge au sol après le dernier poteau, et là il est attaché à un solide piquet qui ne doit pas pouvoir s'arracher. Sur le piquet de départ, on fait aussi un point solide, puis on tend au maximum le fil de fer. Opération sportive, mais qui va être récompensée ...
le long de ce fil, on déroule des cordes de nylon qui vont servir de tuteur aux pieds de tomate. Une ficelle par pied si vous tenez les tomates sur une tige, deux si vous faites des tomates à deux bras (deux tiges parallèles) trois si vous voulez faire des 3 bras, mais c'est plus compliqué à gérer.
on enroule chaque tige de tomate (en fait c'est la ficelle qui s'enroule autour de la tige du bas de la plante jusqu'en haut du fil (1,70 m). Le poids supporté par le fil est énorme en fin d'été, il faut donc qu'il soit des plus solides, sur des poteaux qui tiennent bien, et un fil de fer fixé solidement au sol, aux piquets plantés profonds de début de ligne.
C'est une méthode inspirée de la culture en serre où les plantes sont suspendues aux fils que supportent l'armature de la serre.
j'aime cette méthode, c'est celle-là que je fais dans mon jardin. Je ne plante que 3 ou 4 pieds, mais je les dédouble en deux bras. et j'allonge ma ficelle d'au moins un mètre vingt, en plus de la hauteur, ce qui me permet de coucher les plantes quand elles n'ont plus rien à récolter au sol. comme en serre.
ici en tunnel sur deux lignes, suspendues. puis sur un rang mais avec deux bras
quand on couche les plantes ça donne ça : d'abord les plantes sont effeuillées, des feuilles qui sont sèches pas des vertes qui sont actives et donne du rendement et font mûrir les tomates, (ce n'est pas le soleil qui fait rougir la tomate, c'est son âge par rapport à la floraison, et aux feuilles qui la nourrissent); puis on couche les tiges en déplaçant les attaches hautes des ficelles d'une longueur de plus en plus importante. (d'où un stock bobiné de ficelle pour pouvoir suivre l'allongement des plantes).
photo de tomates hors sol, la première montre l'enroulement de la ficelle qui fait tuteur, et la seconde montre l'inclinaison progressive des plantes, en plein air c'est pareil mais sur moins long.
herve.gros- Messages : 294
Date d'inscription : 27/01/2012
john john- Messages : 173
Date d'inscription : 15/02/2012
Age : 38
Localisation : Saint jean d'illac - Gironde (33)
Re: Le potager de john
Très belles plantes tes fèves, bravo !
la fourmi c'est signe qu'elle cherche des pucerons (sur les fèves ce sont des noirs) et elle va les transporter d'une plante à l'autre pour essaimer et ainsi avoir du miellat pour se nourrir. Comme un puceron seul, est automatiquement une femelle (au printemps et en été), qui n'a pas besoin de mâle pour donner des jeunes (vivipares) toutes les 20 minutes, forcément une femelle (ça s'appelle la parthénogenèse), qui sera fertile dans les 24 h, et qui au même rythme va faire un petit, tous les 20 mn, qui sont des femelles etc ...
Donc méfiance, tu devrais surveiller ça.
Les tomates sont belles, j'ai planté les miennes en fin avril, sous un globe de plastique qui est un bidon d'eau de 5l que j'ai découpé.
la fourmi c'est signe qu'elle cherche des pucerons (sur les fèves ce sont des noirs) et elle va les transporter d'une plante à l'autre pour essaimer et ainsi avoir du miellat pour se nourrir. Comme un puceron seul, est automatiquement une femelle (au printemps et en été), qui n'a pas besoin de mâle pour donner des jeunes (vivipares) toutes les 20 minutes, forcément une femelle (ça s'appelle la parthénogenèse), qui sera fertile dans les 24 h, et qui au même rythme va faire un petit, tous les 20 mn, qui sont des femelles etc ...
Donc méfiance, tu devrais surveiller ça.
Les tomates sont belles, j'ai planté les miennes en fin avril, sous un globe de plastique qui est un bidon d'eau de 5l que j'ai découpé.
herve.gros- Messages : 294
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Le potager de john
j'ai recolté les feves c'est bon les pucerons noirs se sont attaqués à un seul pied donc c'est bon .
1er récolte 790 g avec cosse . La deuxième vague pour la fin du mois . et la suite ... en image dans un mois ou moins
1er récolte 790 g avec cosse . La deuxième vague pour la fin du mois . et la suite ... en image dans un mois ou moins
john john- Messages : 173
Date d'inscription : 15/02/2012
Age : 38
Localisation : Saint jean d'illac - Gironde (33)
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